Les femmes n’aiment pas en parler : démangeaisons, crevasses brûlantes et douloureuses, petites lésions au vagin des suites d’une sécheresse vaginale due, par exemple, à la ménopause. Dans un même temps, l’acidité (valeur pH) dans le milieu vaginal change et, partant, le risque d’infections augmente.
L’équilibre hydrique du vagin peut être perturbé:
• pendant ou après la ménopause
• après l’ablation des ovaires
• après l’accouchement
• pendant la période d’allaitement
• lors de l’utilisation de certains médicaments (y compris les antidépresseurs)
• dans les maladies chroniques (diabète, endométriose, syndrome de Sjögren)
• stress
• pendant ou après la chimiothérapie
Dans plusieurs des cas ci-dessus, une production réduite de l’œstrogène naturel joue un rôle dans le développement de la sécheresse vaginale. Sous l’influence de la diminution du taux d’œstrogènes, la teneur en acide hyaluronique naturel diminue également.
L’acide hyaluronique est le principal élément structurel dans le tissu conjonctif du tissu vaginal et possède une grande capacité de rétention d’eau et de lubrification. Quand le tissu vaginal devient plus mince et plus sec, cela peut entraîner des sensations inconfortables et douloureuses et même des infections des voies urinaires.
Hyalofemme apporte l’acide hyaluronique disparu naturellement du tissu vaginal, de sorte que l’humidification du vagin est rééquilibrée.
Une étude allemande menée parmi 1 000 femmes âgées de 25 à 65 ans a révélé que, au cours des 12 derniers mois, 42 % des femmes avaient souffert de problèmes vaginaux. Plus d’un tiers des femmes interrogées étaient (post) ménopausées. Démangeaisons vaginales, sécheresse et douleurs lors des rapports se sont avérées les problèmes les plus fréquemment mentionnés. Lorsqu’elles sont confrontées à ces types de problèmes, 36 % des femmes déclarent que leur libido diminue considérablement.
Il est par ailleurs remarquable de constater que 48 % des femmes souffrant de problèmes vaginaux ne suivent aucun traitement, probablement par honte.
